lundi 25 février 2008

"casse toi alors, pauvre con"

Vous, je sais pas, mais moi, ça me déprime.

Et comme je le prévoyais assez déjà en mai, j'ai de plus en plus honte d'être française. Et quelque chose me dit qu'on est pas au bout de nos peines.

Qu'on ne me retorque pas pour autant "il faut lui laisser sa chance" : sa chance, il l'a depuis plusieurs mois, et il a fait exactement ce qu'il voulait de sa fonction, on ne peut pas dire qu'il ait eut des bâtons dans les roues. On voit où ça nous mène...

Non vraiment, ça me déprime.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Personnellement, non seulement ça me déprime mais c'est surtout que ça me révolte. Certes, le mec n'avait qu'à pas être dans la mêlée s'il ne voulait pas se prendre sa dose de Sarko, ce type était sans doute un provocateur, et d'ailleurs il a réussi. Je me souviens de Sarkozy à Royal avant les élections, alors qu'elle perdait son sang froid au sujet des handicapés, lui disant qu'un président devait savoir rester calme et ne pas perdre son tempérament...haha.
Entre ça, la scientologie (bientôt légalisée, bientôt chez vous, bientôt religion d'état!), la Shoah au CM2, les rétentions de sureté (en passant outre le Conseil Constitutionnel, parce que c'est plus sympa), je n'ai même plus peur, je suis terrifiée.
Mais de toutes façons c'est bien connu, les gauchistes sont du côté des assassins, sont des racistes, j'en passe et des meilleures. Hou, ouh les vilains monstres...

Anonyme a dit…

Pourriture communiste, saloperies de fonctionnaires, tout ça :/